samedi 19 décembre 2015

Arrêts sur images ...

Le temps passe tranquillement sur Jingle au Guatemala.

Quelques actualités en images:

Notre chargeur de quai - chargeur de batteries - nous à lâché, nous en avons donc commandé un nouveau aux USA puis nous l'avons installé. 6 jours de livraison, 4 jours d'installation, vu la difficulté de trouver des matériaux ici, on s'en sort très bien. Le porte-monnaie s'en trouve toutefois allégé de quelques 1500 dollars... Là on s'en sort moins bien ...

Les températures hivernales locales sont revenues à la normales soit 26° la nuit et 35° dans la journée, mais Noël approchant tout de même ce n'est pas une raison de ne pas sortir, comme tous les ans notre crèche ramenée de Bolivie avec décor de coquillages et corail...


Courgettes farcies, hmmm ...


Les températures élevées et le taux d'humidité très variable nous offre des matins toujours surprenants et beaux ...



Pause café ...

Le rythme des travaux varie mais ne faillit jamais, ici, confection de moustiquaires d'intérieur...


"Bahia" notre copine et voisine de ponton à 4 pattes vient nous rendre visite régulièrement...

Matin brumeux ...

C'est Noël !

Le bateau-épicerie vient nous voir 2 fois par semaine quelque soit le temps ...

Sandrine aime les crevettes grillées :)

mercredi 9 décembre 2015

Manzana Rosa, la pomme rose indo-asiatique venue aux Caraïbes ...

Le Pomme Rose (Syzygium jambos), ou Jambrosade, Jamrosat, Jambosier, Jam-Rose ou, par ici, en Amérique centrale, Manzana Rosa, Pomarrosa, Pomarrosas, Jambolero, Pomarroso, Yambo est un arbre de la famille des Myrtacées, originaire du sud-est asiatique, qui affectionne les climats chauds et humides ou lorsque le climat est un peu plus sec se cantonne dans les ravins ombragés ou près des cours d'eau. 

Importés d'Inde par les anglo-saxons aux Antilles, elle s'est développée dans la Caraïbe et est cultivée pour ses vertus médicinales. Introduit dans de nombreuses régions tropicales, l'espèce montre un caractère envahissant très fort, supplantant alors les formations végétales naturelles indigènes comme à Cuba ou la flore n'est pas régulée.

En vieux Sanskrit, l'Inde actuelle était appelée par les Indiens eux-mêmes Jambudvipa, qui signifie "Pays des Jamrosats"
(jambu = jamrosat ; dvipa = pays).


Le fruit est une baie de 2 à 5 cm de diamètre, pouvant aller du jaune pâle au rouge foncé, dont les tissus internes se distendent formant ainsi un fruit « creux » contenant souvent une graine unique devenue libre comme dans un grelot. Le fruit est comestible. La chair a la consistance d'une pomme croquante et peut avoir le parfum de la rose, d'où les noms qui sont attribués tant à l'arbre qu'à son fruit: Pomme-Rose ( Manzana Rosa en Espagnol ). Ce dernier peut être consommé cru ou servir à des préparations de liqueurs parfumées.

Nous sommes ici en zone tropicale, soit en zone chaude et humide et à proximité d'un cours d'eau donc pas de raison que nous n'en ayons pas. En revanche, je n'y avait jamais fait attention, jusqu'à ce matin ou les fleurs de celui que nous avons près du bateau commencent à répandre sur le sol une féerie de pétales magenta nous apprenant, une fois de plus, que la nature est belle...



samedi 5 décembre 2015

Couleurs locales ...











Zacapa, le rhum de la Maison au Dessus des Nuages ...

C’est au Guatemala, à 230 mètres d’altitude, que se trouve la ville de Zacapa.
Fondée en 1876, cette ville ferroviaire animée a très vite attiré de nombreux voyageurs des quatre coins du monde, comme en témoignent aujourd’hui les noms de familles locaux.
Pour fêter le centenaire de la ville, la compagnie principale de rhum guatémaltèque décida de créer en 1976 quelque chose de spécial. Par l’exploitation d’une expertise acquise au fil de nombreuses années, elle donna naissance à un spiritueux haut de gamme unique : le Ron Zacapa Centenario.


En dehors des "Editions limitées", deux grands classiques font la réputation de la maison Zacapa:


1 - Le rhum" Zacapa Centenario 23 - Solera Gran  - Reserva" est élaboré au moyen d’un processus de vieillissement issu de la technique du « sistema solera » au cours duquel des rhums d’âge et de profils différents sont assemblés, puis vieillis dans une succession de fûts. Les premiers fûts ont été utilisés pour conserver de robustes whiskeys américains, les seconds de délicats Xérès et les derniers d’élégants vins Pedro Ximénez. Au final, le liquide obtenu est un assemblage unique de rhums de 6 à 23 ans d’âge.

Apparence:
Acajou clair, avec des teintes de longue maturation en fût perceptibles sur les bords ainsi qu’une jambe longue et lente qui s’éternise sur le verre.

Nez:
Un départ doux qui s’étend en complexité dans le verre: des arômes de caramel, de vanille et de cacao, qui s’allient à plusieurs couches distinctives des différents fûts de la maturation Sistema Solera: les notes noix du brésil et de noisette du Xérès, et les notes rondes de bananes caramélisées et d’ananas des fûts de bourbon.

Palais:
Merveilleusement complexe et riche, avec une viscosité évoquant le miel très atypique pour un spiritueux âgé: une grande profondeur de fruits raisinés et d’abricots, portant vers un cœur intense de chêne, de noisettes, de cuir et de tabac avec des notes de café et de vanille, balancé par une touche épicée de cannelle et de gingembre dans la finale: un rhum indubitablement fait pour les palais expérimentés.

2 - Le rhum " Zacapa Centenario XO - Solera Reserva Especial"  est également élaboré au moyen d’un processus de vieillissement issu de la technique du « sistema solera ». Puis un ultime vieillissement s’effectue dans des fûts de chêne français ayant auparavant contenu du Cognac. Au final, le liquide obtenu est un assemblage unique de rhums de 6 à 25 ans d’âge.

Apparence:
Acajou avec d’intenses reflets rouges dans les bords hérité de sa longue maturation, ainsi qu’une longue et lente jambe.

Nez:
Un nez très ouvert offrant une variété d’arômes semblant évoluer à chaque passage: un bel équilibre entre chêné mature, caramel flambé, noix séchées, pâte d’amande et écorce d’orange: on perçoit de délicates notes florales de chèvrefeuille en fond.

Palais:

Un équilibre complexe, fascinant, entre douceur, fruité, épicé et esprit, façonné par la maturation supplémentaire en fûts de cognac en chêne. Long et sucré on y découvre des saveurs intenses de chocolats et de fruits secs tels que les raisins, les dates et les prunes. Un doux chêné, de la vanille et de la cannelle, on perçoit des notes plus légères de mangue et de framboise, avec une finale laissant découvrir un gingembre subtil. L’expression ultime de l’art du maître distillateur.




L’histoire commence dans la ville de Zacapa...
Ce rhum est peut-être célèbre pour sa maturation au dessus des nuages, mais son histoire commence bien moins haut que ça, à 229 mètre d’altitude pour être précis. 


Obtenir un équilibre parfait:
Il vous faudra monter plus haut que la ville ayant donné son nom à Zacapa pour trouver l’origine du goût unique de notre rhum : le jus de canne à sucre première pression.


Une fondation plus douce et équilibrée
La plantation est située dans la pleine volcanique de Retalhuleu, à 350 mètres d’altitude au Sud-Ouest du Guatemala. Grâce au sol fertile et acide et au soleil présent toute l’année, aucun endroit au monde ne convient mieux à la culture de la canne à sucre.
La plupart des rhums utilisent la molasse, un dérivé du traitement du sucre, comme base; ce n’est pas le cas de Zacapa. Pour profiter d’un goût plus doux et sucré, Zacapa n’utilise que le concentré extrait de la première étape de presse de la canne, connu sous le nom de jus de canne à sucre première pression.

Le caractère par excellence
Lorsque le temps de la fermentation arrive enfin, est introduit leur propre variété de levure extraite des ananas: la Saccharomyces cerevisiae.
Cette sorte de levure produit exactement les composés aromatiques que Zacapa requiert, et pour lui laisser exactement le temps qu’il faut pour agir, ils laissent le processus de fermentation durer le plus longtemps possible.
La distillation est ce qui confère à Zacapa son caractère. Un alambic à colonne simple, doublé de cuivre afin d’augmenter le goût et de supprimer les impuretés, est utilisé pour distiller le rhum Zacapa.


Un symbole de fierté sur chaque bouteille
L’histoire du Guatemala, cœur de l’empire maya, est millénaire.
Cet héritage est essentiel à la manufacture de Zacapa, c’est pourquoi chacune des bouteilles arbore une bande de petate.
Symbole royal des Mayas 
remontant à plus de 3000 ans signifiant l’union du temps, de l’espace, de la terre et du ciel, chaque ruban de petate est tressé à la main dans quelques villages des départements de Chiquimula, d’El Quiché et d’El Progreso.

S'élever au dessus des nuages
Sur les montagnes de Quetzaltenango, à 2300 mètres d’altitude, se tient la Maison Au Dessus des Nuages.
Ce lieu magnifique – l’un des centres de maturation les plus hauts du monde – est l’endroit où le Rhum Zacapa développe lentement sa complexité et son caractère, année après année.
Là haut, les basses températures ralentissent le processus de maturation, pendant que l’air pur et la pression atmosphérique moins élevée aident à intensifier l’infusion des saveurs propres aux différents fûts.
C’est uniquement à cet endroit précis que l’arôme profond, la couleur particulière et le palais très riche de Zacapa peuvent se développer jusqu’à atteindre la perfection... 


Après cette lecture instructive, vous comprendrez aisément que nous nous devions, pour des raisons purement culturelles, en avoir à bord de Jingle ...



jeudi 26 novembre 2015

Réparations, améliorations et inondations ...

Réparation de l'éclairage du compas intégré des jumelles.
Le Rio Dulce est vraiment une bonne escale pour échapper à la période cyclonique. Nous sommes protégés des vents et des tempêtes, on y trouve de tout (ou presque) pour y manger et boire, on y trouve de tout (ou presque) pour faire de petites réparations sur les bateaux, on y trouve à peu près tout ce que l'on veut pour améliorer les bateaux et surtout on a du temps pour le faire. Nous avons en effet du temps, mais ici l'interrupteur météo n'a que deux positions "Trop Chaud" ou "Pluvieux".

La position "Trop Chaud" nous impose de se lever tôt - on est en général sur le pont vers 6h - pour réaliser les travaux entre 6h et 11h, ensuite il faut absolument se mettre à l'ombre. L'absence de vent rend l'atmosphère lourde et les températures deviennent infernales et dangereuses si on est pas protégé. Puis un déjeuner léger sous la "palapa" de la marina qui, avec son toit de palme et ses pilotis, nous apporte un peu de "fraîcheur" (moins de 35°). Les après-midis sont suffocants car le taux d'humidité, qui reste à 60/70%, avec cette chaleur rend tout mouvement difficile pour le corps et nous sommes en nage rapidement. Ces moments sont donc dédiés à l'apprentissage des langues, la guitare (qui fait encore ce qu'elle veut) ou autres menus travaux "faciles".


Notre maison flotte toujours ...
La position "Pluvieux" est beaucoup plus simple à gérer car on ne peut plus faire grand-chose à bord ...

Tout d'abord quand on parle de pluies dans nos régions tropicales et, à plus forte raison pendant la saison des pluies, il ne s'agit pas de notre charmant crachin breton, celui qui donne bonne mine et arrose les jardins. Non, imaginez plutôt une giboulée de Mars, ou le gros orage avec leurs bonnes grosses d'eau avec un tel débit qu'on se fait tremper entre la voiture et la porte de la boulangerie, et qui nous fait finalement rester dans la voiture en attendant l'accalmie même lorsqu'on a un imperméable.
En métropole, ces "averses" ne durent que 15 ou 20 minutes et heureusement car il n'en faut pas plus pour transformer les caniveaux en torrents et rendre certaines routes de campagnes temporairement impraticable.
Ici, ces mêmes averses peuvent durer deux jours, puis s'arréter 6h et reprendre de plus belle. La chaleur diminue, un peu, mais reste dans les 30° et rend l'atmosphère lourde, moite et ultra-humide.

Cela fait donc des semaines que le taux d'humidité n'est pas descendu sous les 100%, c'est un combat permanent contre la moisissure, rares sont les surfaces sèches à bord du bateau et notre espace de vie "hors pluie" se trouve limité. Evidemment, les taches ne sont plus les même avec ce type de temps, certains travaux sont reportés, on se concentre sur l'assèchement de l'intérieur du bateau. Etrangement cela ne nous empéche pas d'aller à la piscine, ni d'aller voir les copains, on rechigne juste quand il faut aller faire remplir la bouteille de gaz ou allez faire les courses ...


... avec les crues même les marinas sont inondées ...
Ces derniers temps, ces pluies diluviennes sont devenues très importantes, le niveau de l'eau est monté de plus d'1,20m. De vastes régions sont inondées, les villages sont inondés et traversés par des torrents de boues qui emportent tout sur leurs passages. Sur un des affluents du Rio un peu plus haut dans les montagnes, un camion (un Freighliner américain de 30 tonnes) s'est fait emporter en tentant de franchir un pont inondé. L'électricité est généralement coupée et l'eau des puits, quand elle est accessible, est devenue imbuvable. Quand on regarde les populations locales, désarmées et envahies par les eaux, ils font comme si rien n'avait changé. La connaissance des aléas de la nature au caractère difficile dans leur pays, leur fatalisme face à celle-ci et leur confiance en un avenir meilleur est désarmant et encourageant, ils sont forts.

Un groupement de plaisanciers (majoritairement anglo-saxons) récolte, tout de même, panneaux solaires, batteries et autres élements énergétiques pour venir en aide aux plus démunis en leur apportant de l'énergie pour faire tourner les frigos et apporter un peu de lumière dans les chaumières ...


Jingle s'est doté de pare-soleil arrières. Des heures de reflexion pour un resultat simple et pratique ...

Enfin une moustiquaire ! On en révait, on l'a faite !

Quand la pluie n'envahit pas le cockpit, la guitare électrique crépite ...


Un pare-soleil confectionné pour les transats-bains de soleil


La météo nous oblige à s'équiper : housse étanche pour guitare !



Nous acceptons les migrants, en effet beaucoup d'animaux se retrouve sans leurs abris habituels ...





jeudi 17 septembre 2015

Retour à l'eau !

Trois petits tours en Europe et puis s'en vont ...

Comme la chanson le dit, nous avons fait un bref passage en France et Suisse cette année. Le mariage de Morgane et Tim était la raison principale de ce voyage, puis nous en avons profité pour régler quelques soucis de mises à jour bancaires, médicale et technique.

Une fois choses faites, nous reprenons l'avion pour un retour au Guatemala.

Une nuit à notre hotel de prédilection, puis taxi vers la gare routière et hop nos désormais habituelles 6 heures de bus pour quasi-traverser le pays de la Capitale vers le Rio Dulce et retrouver notre bateau que nous avons lachement abandonné pendant 1mois...

C'est en pleine forme que nous retrouverons Jingle, en effet celui-ci etait entre les mains expertes d'un stratifieur pour lui refaire une beauté complète des coques et autres éclats de gelcoat tout autour du pont. Le travail est remarquable, on ne discerne aucun défaut de colori de gelcoat (le plus difficile à réaliser) et le tout à été fondu par un polish complet qui rend son éclat au bateau de manière impresionnante. Nous sommes ravi du travail effectué et nous ne regrettons pas les 2200 USD que cela nous a couté, il nous aurait fallut compter au moins 3 fois ce montant aux Antilles et plus encore en métropole - pour info ils ont passé entre autres 3 litres de résine et 6 litres de gelcoat. C'est donc à cette même équipe que nous allons confier la peinture anti-fouling après ponçage complet des oeuvres vives (soit encore un billet de 1800 USD dont  90% en peinture).

Même notre Baobab africain, enfermé dans la salle de bain avec un petit hublot pour seul soleil et personne pour l'arroser à une forme olympique...

8 jours nous seront nécessaires pour préparer le bateau à son retour à l'eau. Nous irons dans une autre marina cette fois, en effet Nanajuana avec sa nouvelle équipe de management s'est emmelé les pinceaux et n'a pas de place pour nous ... Pas grave, cette année encore tous les copains sont "de l'autre coté du Rio" et nous irons donc les rejoindre dans la zone plus active et plus conviviale.

Le tracteur et sa remorque arrivent donc un matin et commence le calage minutieux afin de ne pas saboter le travail réalisé. Deux heures après, nous sommes dans la darse, ça flotte et tout démarre. Larguez les amarres et zou ! On traverse le fleuve. Puis une marche arrière entre les poteaux sera nécessaire et on lance les amarres à Jean-Claude et Joël pour se loger à notre nouvel endroit. C'est sympa, il y a une belle piscine, on peut aller en ville à pied, une belle palapa avec ses hamacs confortable est prète à nous accueillir. On va être bien ...


Le tracteur et sa remorque qui va se caler sous le bateau ...
On approche de la darse ...


Voici notre nouvel endroit pour les mois à venir ...

On y est tellement bien, que même certains mammifères indésirables se disent que finalement eux aussi vont avoir droit à une petite place à bord ... Que nenni ! Depuis un épisode similaire à Cuba, nous nous sommes équipés en piège et le séjour aura été de courte durée pour le passager clandestin...

Bon, on a repris le rythme imposé par la chaleur et le décalage horaire, donc commencent les travaux de réparations. Le groupe électrogène à été noyé dans un coffre qui ne s'est pas vidé et à accumulé les pluies diluviennes qui s'abattent parfois par ici. Démontage complet, assèchement et traitement de la partie électronique, puis coups de lanceur et vroum ça part et ça charge... Il était tout neuf, ça nous aurait fait mal.

Notre guindeau est actuellement en cure de rajeunissement aussi, son moteur souffre de corrosion suite à une étanchéïté défaillante, l'eau rentre et ne sort pas ... La liste des travaux est longue et auto-régénérante donc c'est notre quotidien. Le tout est de s'organiser pour éviter la saturation, faire que ça avance quand même et pouvoir jouer de la guitare avec les copains et aller voir le rugby au bar d'à coté ...

Nous allons rester ici encore un peu, d'une part nous attendons nos voiles sur lesquelle il y a un peu de boulot et puis nous sommes encore en période cyclonique de toutes façons. Ensuite ? Départ pour la métropole via les Antilles. En effet, nous allons amener Jingle près de Nantes pour une remotorisation complète. Donc départ dès qu'il fait beau, plusieurs mois pour faire 2000 milles contre les vents en zigzagant entre les iles et les coups de vents pour arriver aux Antilles, puis plusieurs semaines seulement pour les 4000 milles de transat avec une pause aux Açores. Arrivée prévue printemps/été suivant conditions météo ...


dimanche 16 août 2015

Brooklyn et Manhattan ...

Rue de Brooklyn
Nous quittons notre hotel de Guatemala City, le Barcelo, aux aurores. Un chauffeur de taxi roupille devant l'entrée, c'est parfait, 10 minutes plus tard nous sommes à l'aéroport, 3h30 plus tard nous sommes à Miami. On a le temps de casser un petit bout de croute, puis vol intérieur pour New York !

Nous adorons cette ville et, étrangement, un vol Miami-Paris est aussi cher qu'un Miami-NewYork-Paris. De plus, nos amis Liz et Kevin habitent Brooklyn et nous ont invités à passer quelques jours. Cerise sur le gateau, Erwan et Mathieu habitent désormais à 2 pas de Central Park et ont une chambre d'amis...

Donc pas d'excuses pour aller flâner dans les rues, musées et restaurants de cette ville qui ne s'endort jamais...

Nous voulions surtout découvrir l'ambiance et l'atmosphère de Brooklyn qui, depuis, plusieurs années est en passe de devenir le quartier "cool" de NYC. Très bio et micro-commerces, avec ses festivals de gatronomie, ses petits bistrots sympa et ses petits restots branchouilles. Un peu bo-bo vous allez me dire? Oui carrément mais c'est plaisant, agréable et simple.


J'ai toujours eu un faible pour les carrefours ...

Le Pont de Brooklyn vu depuis Brooklyn, juste derrière se trouve le Manhatan Bridge...

Un autre quartier de New york que nous voulions découvrir: Coney Island, ses plages et sa fête foraine !

Un hot-dog de chez Nathan's est un incontournable !

Et oui ! Il y a des plages à New York ...

Paris ? Non, Brooklyn ...

La bibliothèque (la façade arrondie) de Brooklyn...


Notre plaisir favori, flâner dans les rues de Manhattan ... Ici devant la Scholl of Rock de Broadway ...

Oui, nous sommes à New York !

Je l'affirme sans hésiter: Ce sont les meilleurs doughnuts du MONDE !



L'embouchure de l'Hudson de la terrasse du Whitney Museum, musée d'art moderne...


Katz's ... une légende, le déli aux meilleurs sandwich au Pastrami du MONDE ! Harry rencontre Sally ici aussi ;)

Nous ? ça va ... :)