Plongée à 33m sur l'épave d'un petit porte-container, le Rick's H. situé dans la baie de Moon Hole.
jeudi 26 septembre 2019
mercredi 25 septembre 2019
Vie Sauvage en VIP...
jeudi 12 septembre 2019
Grenadines, sous la surface ...
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Le club ... |
Le rendez-vous est pris avec Dive Bequia pour une première plongée et plus si affinités (on finira avec un forfait 10 plongées). L'ambiance est sympa, l'équipement sérieux (depuis notre RIFAP, on redouble d'efficacité quant aux contrôles type oxygéno-thérapie ou possibilité de remonter seul un plongeur inconscient etc...), le bateau vient au ponton (Deep Turtle à fait de nous des enfants gâtés) et ... c'est la basse saison, donc nous sommes seuls à aller plonger!
Nous avons, en effet, deux personnes: un guide de palanquée et une surveillance-surface (beaucoup de dérivantes, les courants sont forts) pour nous tous seuls, nous avons donc rapidement hérités de surnoms: les plongeurs VIP. On assume.
Une première plongée sur Devil's Table (la Table du Diable) pour se rendre compte que l'atmosphère est différente qu'en Martinique: l'eau est chargée et riche, la flore n'est pas la même, les poissons sont plus gros et plus nombreux. Nous devons également nous adapter au matériel: ici les blocs sont en aluminium et il a fallut compenser la différence de densité avec un lestage approprié pour retrouver nos sensations.
Puis les plongées s'enchaînent sur des sites remarquables, les reliefs sont variés et prononcés, de vertigineux tombants riches en vie, des tortues, des failles, des raies, des surplombs, des grottes avec requins, des canyons, des éboulements, des épaves... On adore !
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Un seul bateau sur l'eau, deux plongeurs ... |
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L'épave du Love Divine ... |
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Max, notre guide ... |
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La plongée d'exploration prend ici tout son sens ... |
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Quelques poissons-lions seront sur notre chemin ... |
mercredi 11 septembre 2019
mardi 10 septembre 2019
Bequia, les Portes du Paradis ...
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L'eau est claire ... |
Peu d'air donc nous pouvons longer la côte de près pour longer Castries, puis les pitons de la Souffrière. La grand-voile est déjà hissée, nous n'avons plus qu'a dérouler le génois quand une petite brise de travers se présente à nous. Elle nous accompagnera toute la journée. Nous voyons déjà St Vincent et nous marchons plutôt bien malgré le courant qui nous pénalise d'un bon nœud.
Le vent reste constant même sous le vent de l'île, mais il tombe une fois arrivés au sud. Nous démarrons les moteurs. Nous devons même les faire monter dans les tours dans le canal entre St Vincent et Bequia (prononcer Békoué) car nous nous retrouvons avec presque 3 nœuds de courant. Nous avançons carrément en crabe pour ne pas nous faire dépaler.
Il fait encore jour quand nous arrivons, peu de bateau, nous sommes hors-saison, donc plein de place: nous choisissons de nous éloigner un peu du centre de Port Elizabeth et mouillons en face de la petite plage au sud de Princess Point.
Le lendemain, nous irons faire nos formalités d'entrée dans les Grenadines puis arpenterons les rues afin de découvrir les endroits ou: boire un café/acheter des légumes/boire une bière/acheter de la viande/manger un morceau/trouver des pièces pour réparer une douche...
L'église proprette aux jardins bien entretenus... |
A deux pas d'un bon petit resto ;) |
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Et oui ... Le 11 c'est l'anniversaire du Capitaine ! |
lundi 9 septembre 2019
Départ pour Ste Lucie
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L'ile Pigeon (qui est une presqu'ile) devant Rodney Bay |
L'idée est bien entendu d'aller se mettre à l'abri mais pas que. En effet, lors de première transat, notre étai s'était cassé quelques jours avant notre arrivée à la Barbade et nous avions du remonter sur la Martinique pour faire réparer sans passer par Grenade, case départ de la balade "classique" de l'arc antillais. Huit ans de promenade dans les Antilles plus tard, il va peut-être être temps d'aller y faire un tour.
Première étape, Ste Lucie, simple stop and go avant de pousser plus en avant...
vendredi 6 septembre 2019
lundi 26 août 2019
Dorian, alerte cyclonique.

Fort heureusement nous avons, à l'heure actuelle, plusieurs outils fiables qui nous permettent d'avoir :
- de l'info, merci la téléphonie mobile et internet.
- des données météo en temps réel et 24/7, merci les prévisionnistes européens du ECMWF, les prévisionnistes américains du GFS et les tchèques de Windy qui rassemble les données et permet leur lecture.
- le support de l'agence gouvernementale américaine NOAA responsable de l'étude de l'océan et de l'atmosphère pour ses observations.
- les relevés sur le terrain et prévisions du NHC basé en Floride et spécialisé dans l’étude et la prédiction des systèmes tropicaux, en particulier des ouragans.
Nous sommes le jeudi quand la perturbation que nous suivons depuis plusieurs jours se renforce et devient tempête tropicale.
Cette dernière se renforce encore le vendredi et sa trajectoire est affinée par le NHC: mauvaise nouvelle, nous sommes sur son chemin !
C'est confirmé le samedi, nous nous préparons donc à appareiller dès le lendemain matin pour partir vers le sud.
Le dimanche, nous faisons route vers Ste Anne et les services météo corrigent leur prévisions et annoncent une trajectoire plus au sud. Nous n'allons pas nous jeter dans la gueule du loup de ce qui est devenu un ouragan classe 2. On décide de patienter sur place.
Le lundi, la prévision de trajectoire remonte mais reste plus au sud. Proche, mais sud. Nous serons dans le cone d’intéressement de Dorian: mise en place de notre protocole "grands vents".
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Résultat du travail joint NOAA et NHC |
Nous déroulons nos 80m de chaîne, je me met à l'eau pour vérifier la bonne tenue et clipser une deuxième main de fer pour doubler notre bride avec une amarres frappée aux taquets. Tout ce qui peut s'envoler est rangé, le matériel arrimé, les bâches sont descendues, l'électronique est en marche, les moteurs prêts à démarrer... Ne reste plus qu'à patienter.
C'est vers 4h15 que nous nous réveillons avec le bruit des rafales de vent. Sur les écrans: 35 nœuds, pas de quoi s'inquiéter, on retourne au lit.
6h30, à nouveau des rafales cette fois à plus de 40 nœuds mais, là encore, rien d'alarmant. Nous restons en veille.
Des pluies torrentielles et des nuages lourds vont assombrir cette journée, mais à part ça: rien.
Dorian, qui se renforce en ouragan classe 3, est passé au sud de Ste Lucie. Nous étions à l’extrême nord du dangereux quadrant nord-est, nous avons donc été épargnés comme annoncé par le NHC, malgré le comportement erratique de Dorian.
Plus de peur que de mal pour cette alerte qui nous à permis de faire une première verification de notre
sécurité à bord. C'est rassurant, on peut aller très vite pour préparer le bateau en mode "cyclone" mais croisons les doigts pour que cela ne nous serve jamais...
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Un Hurricane Hunter |
Encore un gros merci à ceux et celles qui, jour et nuit, travaillent indéfectiblement à la sécurité de tous et tout particulièrement aux pilotes "chasseurs d'ouragans" du NHC qui volent au cœur des tempêtes afin de faire des relevés et améliorer les prévisions.
mardi 20 août 2019
Plongeurs N2, vers l'autonomie ...
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Certifiés N2 et AOWD |
En soi, rien de neuf, mais pour plonger en toute sécurité à 40m, nous devons passer par une étude cardiaque approfondie. Electro-cardiogramme bien sur, puis échographie cardiaque en hors d'oeuvre. Puis rendez-vous en Médecine Nucléaire pour test d'effort en plat de résistance et scintigraphie cardiaque en dessert. C'est là ou, en train de transpirer sur notre vélo, il s'agit de nous injecter dans le sang un traceur radio-actif et voir par ou ça passe et surtout vérifier ou ça passe pas. Les résultats tombent: nos artères sont plus jeunes que nous, les cœurs sont bons, on est aptes !
C'est donc parti pour de nouvelles formations, gestion de son air, topographie, orientation, stabilisation, perfectionnement en stabilisation (fait pas de mal), reconnaissance de poissons, plongées de nuit, plongées profondes, cours sur les barotraumatismes, accidents de décompression, pressions partielles et saturation en azote puis on durcira avec des moments plus techniques: les remontées assistées... Ou comment remonter son binôme (on plonge toujours par deux) qui est en panne d'air, soit en panique, soit en essoufflement, soit évanoui.
La formation N2, nous permet d'accéder à l'autonomie à 20m et 40m encadrés.
On en profitera également pour passer notre RIFAP, brevet de sauvetage en mer spécifique aux accidents de plongée. Formation théorique et pratique véritablement intéressante et sécurisante pour soi et pour les autres.
Nous serons également brevetés AOWD (Advanced Open Water Diver) qui est un système international de formation.
Petit à petit, nous devenons des plongeurs ...
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Une serpentine |
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Un poulpe ... |
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Les remontées assistées ... |
samedi 8 juin 2019
Plongeurs N1, le premier pas vers les profondeurs ...
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Sur le Turtle Rain ... |
L'intervalle -20m/surface nous était accessible en apnée que ce soit pour des balades, des prises d'images sous-marine ou la chasse. Ce n'est pas anodin, il faut en effet se préparer, s’entraîner, s'exercer et cela quotidiennement pour conserver cette aptitude.
Sandrine, mon porte-flingue et porte-proies lors de nos sorties sous-marines alimentaires, s'en voulait de ne pouvoir rester plus longtemps aux profondeurs ou la vie aquatique est intéressante...
Du temps, de l'expérience et de nombreuses immersions en pleine mer, avec raies et requins, avec grands barracudas, etc... ont depuis nettement augmenté son aquacité, c'est donc avec plaisir mais non sans surprise que Sandrine m'a proposer de retenter l'expérience de se former à la plongée.
S'en suivront des plongées de plus en plus profondes, des plongées de nuit, des plongées en autonomie, etc ... avec un plaisir grandissant à chaque plongée...
samedi 25 mai 2019
lundi 25 mars 2019
jeudi 14 février 2019
jeudi 31 janvier 2019
4ème Transat (Partie 2) : Cap Vert - Martinique
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Grand Largue |
On se fait cueillir par un vent établi à 27 noeuds dans le canal, ce n'est pas une surprise pour nous, la grand-voile est déja à deux ris et tout est rangé. Le courant de 3 noeuds nous dépale rapidement sous le vent de l'ile puis on sort de la zone protégée avec un 20 nds établis avec rafales à 26/27. La houle est croisée et peu confortable.
Il faudra attendre le soir pour que les rafales se calment et que la houle s'organise... Bon, ça y est: on est partis !
Quelques jours plus tard, le vent est nettement plus calme, on est sur du 20 noeuds au grand-largue (150° du vent), la houle cogne un peu car elle est encore grosse mais tout va bien. On est un peu juste en énergie car les matinées sont couvertes. On à du soleil dans la journée, majoritairement, puis des grains la nuit. On pêche, on discute, on se repose, on mange, on boit le café, on dort... Rythme transat quoi.

Depuis quelques jours, on à commencé à rencontrer des "sargasses", ces algues massives et dérivantes qui s'agglutinent en véritables îlots épais de plus d'1m et vont jusqu’à gêner notre avance en perturbant la mobilité des safrans. Météo, le schéma se répète avec des vents à 20/22nds en début de nuit, forcissant entre 24 et 27 en milieu de nuit puis revenant à 20/22 au matin faiblissant un peu trop en fin de journée, puis le cycle reprend. Cela fait tourner les moteurs ou le groupe, nous avons de l'eau douce à profusion, on fait même tourner la machine à laver et on compense le faible ensoleillement pour charger le parc de batteries.

On réalise de bonnes prises quand les lignes ne se prennent pas dans ces bon-sang de sargasses maintenant omniprésentes. Gilles nous prépare de bons petits plats, bons pour la panse, bons pour le moral !
Nous sommes le 14 quand, en fin de nuit (celle du 13 au 14, j'aurais pu dire super tôt le matin, mais c'est vraiment super tôt donc plutôt encore la nuit)... on commence à distinguer le halo propre aux îles qui apparaissent la nuit dans le lointain (j'adore ces moments) ... La Martinique est devant nous !
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Au menu ... |
Les phares les plus puissants sont clairement visibles, puis c'est le tour des lumières de l'île dont nous finirons par apercevoir les contours au petit jour. Nous sommes accueillis par une forte houle soulevée par l'élévation des fonds ainsi qu'une quantité incalculable de bouées de casiers, c'est évidement dans ces moments "tendus" que les filtres à gas-oil s'engorgent des bactéries de fond de cuve et font ratatouiller les moteurs...
La pointe sud est passée, nous sommes à l'abri et faisons route vers Ste Anne, ce havre de paix et de joie. Il est midi tout pile quand l'ancre est jetée, stabilisée et que les moteurs sont coupés.
Opération Attitude 115 Ouest : mission accomplie !
Bilan et culture marine:
- La Loxodromie est un tracé de route qui coupe les méridiens à angle constant, c'est la trajectoire suivie par un bateau à cap constant. Représenté par une ligne droite sur une carte (projection de Mercator) mais ne représente pas la route la plus courte.
- L'Orthodromie désigne le tracé de route le plus court entre deux point du globe. C'est le plus petit des deux arcs du grand cercle joignant ces deux points, il n'est donc pas représenté par une ligne droite sur les cartes marines mais par une courbe (c'est toute la magie du truc).
- L'Alcolodromie désigne une toute nouvelle technique très très secrète de tracé de route que nous avons mis au point très récemment suite à cette traversée. Les ordinateurs étudient encore les données enregistrées et nous attendons de modéliser la projection gnomonique avec le produit scalaire des coordonnées du vertex avant de rendre cette découverte publique ...
Toujours est-il que :
- Loxodromie : 2103 milles
- Orthodromie: 2086 milles
- Alcolodromie: 2137 milles ... moi, je dis bravo !
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La joie des couchers de soleil en mer ... |
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La joie des quarts de nuit ... |
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Les bienfaits de la réflexion et de la solitude ... |
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Les joies de la gueule de bois ... |
dimanche 20 janvier 2019
4ème Transat (Partie 1) : Canaries - Cap Vert

Celle-ci, bien que peu compliquée, est tout de même délicate. En effet, le bateau est large et passe tout juste dans la rangée de bateau qu'il va falloir remonter entièrement pour sortir du port.
Des rafales de vent latérales ont la fâcheuse tendance à pousser le bateau sur le coté pour aller le faire cogner sur les bateaux à quai, on ne peut pas se le permettre, on attend donc le bon moment pour sortir de ce piège.
Détail: cette manœuvre se fera en marche arrière...
C'est bon ? On y va ! le bateau n'a pas fait 10 mètres que la butée de barre se bloque sur le coté faisant dévier sans cesse la trajectoire du bateau. On jure, mais on y va quand même, pas le choix, plus lentement et en jouant sur les deux moteurs pour rattraper les écarts dus à la barre bloquée. On s'amarre rapidement à un ponton près de la sortie du port, réparation et zou! C'est parti pour de bon !

24 heures seront tout de même nécessaires à nos organismes pour s'amariner. Une quarantaine de dauphins viendra accompagner le bateau pour célébrer ça le deuxième jour.
Le mardi on aura du 20/23 noeuds avec de beaux surfs à 10/11 noeuds, ce sera le record de vitesse vent et bateau de toute la descente. Le reste se fera avec une petite brise qu'il faudra parfois aider à coup de Volvo mais qui nous permettra de nous "câler" au niveau rythme de vie à bord, quarts de nuits, repas, navigation, etc ...
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Arrivée sur Mindelo |
Au niveau pêche, de belles touches, mais seuls les steaks hachés et les omelettes aux champignons se seront laissés attrapés. Tant pis...
Samedi matin, nous n'avons plus de vent du tout depuis la veille, nous arrivons en vue de Sao-Vicente au petit jour. Il est 11h00 quand nous rentrons dans le port industriel de Mindelo, nous commençons par aller faire les pleins au ponton carburant puis à 13h nous sommes amarrés à une place dans la marina, les papiers d'entrée sont faits. Petite collation, puis glandouille-sieste l'après midi en attendant le moment crucial de l'apéro au bar de la marina (meilleur endroit de la ville pour ce genre d'activité).
Bière et vins, puis tapas avec croquettas de thon, calamars frits, etc ... Le lendemain matin, on s'apercevra que le calamars mal frit donne un léger mal de tête au réveil... On s'en fout, on est arrivés, on est content. 820 Milles nautiques de parcourus, 6 jours de navigation, petite moyenne mais grand plaisir...
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Mindelo, son port, sa marina ... |
dimanche 18 novembre 2018
*** Opération : Attitude 115 Ouest ***
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Le truc qui fait super pro ... |
Cela ne changeait rien à notre quotidien, sauf que nous avons décidés de retourner aux Antilles en 2019. La téléportation n'en étant encore qu'à ses débuts en milieu maritime, seule la navigation "à l'ancienne" avec des vagues, du vent, des mouettes, des poissons et tout ça, est envisageable.
Première réflexion: réaliser un vieux rêve, une transat en solitaire ...
Mais l'inquiétude grandissante de celle qui allait rester à terre ainsi que son ton (parfois, je l'avoue) impératif, m'ont
Trouver un gus capable, volontaire et disponible pour venir faire le clown sur un pont de bateau pendant 3 semaines/ un mois n'était pas un challenge en soi, j'avais plusieurs candidatures sur mon bureau (parfois sans qu'ils le sachent) avec chacun ses compétences et caractéristiques propres. Mais j'ai du faire un choix.
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Désolé, j'ai pas de photo plus récente ... |
Je vous présente donc l'équipier qui partira à bord de Jingle dès la mi-Janvier: GILOU !
Donc, que se passe t'il quand deux potes, un jeune de 54 ans et un vieux de 61 ans, soit 115 ans au total, un peu à l'Ouest et qui partent un peu plus vers l'Ouest montent une opération "aventure" ???
C'est la naissance de "Opération Attitude 115 Ouest"... ça claque hein ? L'idée de départ, c'est juste de passer du bon temps à naviguer jusqu'aux îles des Antilles entre copains, mais en disant que c'est une opération ça "donne du sens et apporte une autre dimension" ... ça veut rien dire mais ça fait sérieux ...
Déroulement de l'Opération : (attention faut suivre, ça va aller très très vite et je ne répéterais pas)
- Phase 1 : aller des Canaries au Cap Vert
- Phase 2 : aller du Cap Vert aux Antilles.
jeudi 11 octobre 2018
On reprend le chemin de l'école ...
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Beaux, très très beaux les chapeaux ... |
Notre "vie quotidienne" reprend donc son cours, ici, à San Sebastian. Nos petites courses au marché, nos visites régulières chez notre boucher, petit café en terrasse (et oui on est aux Canaries, il fait chaud ...) et puis on reprend le chemin de la salle de sport. Les 450 km de parcourus en 1 mois en Scandinavie ne nous ont pas trop fait perdre de vivacité aux mollets, mais on ne va pas se laisser aller donc hop, 3 à 4 entraînements d'une heure et demi par semaine.
Puis, nous retrouvons le chemin à peine entamé de l'école de langue, car, oui, nous avons décidé de structurer un peu notre "petit nègre" d'espagnol pour tenter d'avoir des conversations sans avoir à mimer ou faire des dessins pour se faire comprendre. Après deux saisons en Amérique centrale et deux saisons aux Canaries c'est impardonnable, donc cahier, gomme et trois à quatre heures de cours par semaine !
A coté de ça, nous reprenons l'entretien du bateau - c'est bien beau les vacances mais faut retourner au boulot ! - remise en route des circuits basiques plus contrôle un peu plus poussé car ... il faut préparer le bateau pour traverser l'Atlantique en Janvier... et oui.
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Le secret pour être en forme ! |
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Imagination ... |
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et réalisation ... |
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Impossible d'en trouver des "vrais" 30/33/37 alors on les fait ! |
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