Seuls au monde au cap Solomon ...

: N'oubliez pas de cliquer sur Full Screen et de mettre le son ... ;)

Murphy et le Dinghy ...

Entre voiture et compagnon d'exploration: le dinghy !

 14 ans ... C'était l'age avancé de notre dinghy. Il avait déjà commencé sa carrière professionnelle avant d'embarquer sur Jingle en 2007.
Quatre années supplémentaires à gérer des passagers sans scrupules puis, enfin, nous l'avons adopté et nous avons commencé à l'entretenir, le nettoyer, le gonfler, le réparer, le protéger, l'habiller, etc. En échange, il nous à emmener partout ou nous voulions aller, de l'arc antillais, les Bahamas, les Îles Vierges, New-York, Mexique, Key West, Belize, Cuba, Guatemala ...

Plusieurs fois, il a fallu des interventions de réparation. Plus ou moins grandes suivant les dégâts, puis deux gros traitements internes pour refaire les enduits intérieurs, une méga visite chez un pro en Bretagne pour usures et fuites, puis une rafales de pièces à rajouter pour combler des fuites successives... A la fin on devait gonfler le dinghy 3 fois par jour, quelques fois 4...

On le savait, mais on ignorait quand cela allait arriver et cela n'arrive jamais au bon moment, Murphy à frappé: on à du le remplacer...

Notre nouvelle monture: Highfield 310 Classic, la résistance du tissus hypalon, la légèreté de l'aluminium, l'élégance du cabriolet...

Le dinghy, indispensable pour aller faire ses courses et goûter aux joies gustatives locales...

Lui aussi sera tatoué ...

Murphy et l'Hélice...

La hantise de toutes personnes se déplaçant sur l'eau en embarcation motorisée : le cordage flottant à la surface de l'eau !

En effet, celui-ci à la fâcheuse tendance à se faire aspirer par l'hélice et, suivant sa longueur, son diamètre et sa consistance va générer une situation qui va de petit emmerde à gros emmerde... On à eu le deuxième ...
C'était un gros cordage qui à fait deux tours et toc, la partie silent-bloc centrale de l'hélice à joué son rôle de fusible et ... plus de propulsion...

On à trouvé une hélice ressemblante dans le shipchandler du coin (on à eu de la chance, on était au beau milieu de la baie du Marin quand ça nous est arrivé) ainsi des outils empruntés sur les pontons, pour regagner le bateau avant la nuit.

Puis commande de la "vraie" hélice sur internet le lundi et ... arrivée le jeudi par Chronopost. Incroyable, non ?