Il est 11h00 quand nous larguons les amarres, les marinéros du port sont là pour nous donner un coup de main avec la manœuvre.
Celle-ci, bien que peu compliquée, est tout de même délicate. En effet, le bateau est large et passe tout juste dans la rangée de bateau qu'il va falloir remonter entièrement pour sortir du port.
Des rafales de vent latérales ont la fâcheuse tendance à pousser le bateau sur le coté pour aller le faire cogner sur les bateaux à quai, on ne peut pas se le permettre, on attend donc le bon moment pour sortir de ce piège.
Détail: cette manœuvre se fera en marche arrière...
C'est bon ? On y va ! le bateau n'a pas fait 10 mètres que la butée de barre se bloque sur le coté faisant dévier sans cesse la trajectoire du bateau. On jure, mais on y va quand même, pas le choix, plus lentement et en jouant sur les deux moteurs pour rattraper les écarts dus à la barre bloquée. On s'amarre rapidement à un ponton près de la sortie du port, réparation et zou! C'est parti pour de bon !
Le vent, fort près des îles, baisse un peu en s'en éloignant. La fenêtre météo prévue pour la descente n'est pas folichonne mais à le mérite d'avoir des vents faibles et orientés dans le sens de la marche ainsi que la houle.
24 heures seront tout de même nécessaires à nos organismes pour s'amariner. Une quarantaine de dauphins viendra accompagner le bateau pour célébrer ça le deuxième jour.
Le mardi on aura du 20/23 noeuds avec de beaux surfs à 10/11 noeuds, ce sera le record de vitesse vent et bateau de toute la descente. Le reste se fera avec une petite brise qu'il faudra parfois aider à coup de Volvo mais qui nous permettra de nous "câler" au niveau rythme de vie à bord, quarts de nuits, repas, navigation, etc ...
Au niveau pêche, de belles touches, mais seuls les steaks hachés et les omelettes aux champignons se seront laissés attrapés. Tant pis...
Samedi matin, nous n'avons plus de vent du tout depuis la veille, nous arrivons en vue de Sao-Vicente au petit jour. Il est 11h00 quand nous rentrons dans le port industriel de Mindelo, nous commençons par aller faire les pleins au ponton carburant puis à 13h nous sommes amarrés à une place dans la marina, les papiers d'entrée sont faits. Petite collation, puis glandouille-sieste l'après midi en attendant le moment crucial de l'apéro au bar de la marina (meilleur endroit de la ville pour ce genre d'activité).
Bière et vins, puis tapas avec croquettas de thon, calamars frits, etc ... Le lendemain matin, on s'apercevra que le calamars mal frit donne un léger mal de tête au réveil... On s'en fout, on est arrivés, on est content. 820 Milles nautiques de parcourus, 6 jours de navigation, petite moyenne mais grand plaisir...
Celle-ci, bien que peu compliquée, est tout de même délicate. En effet, le bateau est large et passe tout juste dans la rangée de bateau qu'il va falloir remonter entièrement pour sortir du port.
Des rafales de vent latérales ont la fâcheuse tendance à pousser le bateau sur le coté pour aller le faire cogner sur les bateaux à quai, on ne peut pas se le permettre, on attend donc le bon moment pour sortir de ce piège.
Détail: cette manœuvre se fera en marche arrière...
C'est bon ? On y va ! le bateau n'a pas fait 10 mètres que la butée de barre se bloque sur le coté faisant dévier sans cesse la trajectoire du bateau. On jure, mais on y va quand même, pas le choix, plus lentement et en jouant sur les deux moteurs pour rattraper les écarts dus à la barre bloquée. On s'amarre rapidement à un ponton près de la sortie du port, réparation et zou! C'est parti pour de bon !
Le vent, fort près des îles, baisse un peu en s'en éloignant. La fenêtre météo prévue pour la descente n'est pas folichonne mais à le mérite d'avoir des vents faibles et orientés dans le sens de la marche ainsi que la houle.
24 heures seront tout de même nécessaires à nos organismes pour s'amariner. Une quarantaine de dauphins viendra accompagner le bateau pour célébrer ça le deuxième jour.
Le mardi on aura du 20/23 noeuds avec de beaux surfs à 10/11 noeuds, ce sera le record de vitesse vent et bateau de toute la descente. Le reste se fera avec une petite brise qu'il faudra parfois aider à coup de Volvo mais qui nous permettra de nous "câler" au niveau rythme de vie à bord, quarts de nuits, repas, navigation, etc ...
Arrivée sur Mindelo |
Au niveau pêche, de belles touches, mais seuls les steaks hachés et les omelettes aux champignons se seront laissés attrapés. Tant pis...
Samedi matin, nous n'avons plus de vent du tout depuis la veille, nous arrivons en vue de Sao-Vicente au petit jour. Il est 11h00 quand nous rentrons dans le port industriel de Mindelo, nous commençons par aller faire les pleins au ponton carburant puis à 13h nous sommes amarrés à une place dans la marina, les papiers d'entrée sont faits. Petite collation, puis glandouille-sieste l'après midi en attendant le moment crucial de l'apéro au bar de la marina (meilleur endroit de la ville pour ce genre d'activité).
Bière et vins, puis tapas avec croquettas de thon, calamars frits, etc ... Le lendemain matin, on s'apercevra que le calamars mal frit donne un léger mal de tête au réveil... On s'en fout, on est arrivés, on est content. 820 Milles nautiques de parcourus, 6 jours de navigation, petite moyenne mais grand plaisir...
Mindelo, son port, sa marina ... |
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